Voici une partie du texte qui sera affichée lors de cette exposition pour expliquer la libération de Jouaville en mémoire du doyen du village,décédé ce jour et qui a vécu ces événenents.
Libération
de Jouaville
4 septembre : les troupes
allemandes se replient vers Metz. Sur la route, avant la ferme de Caulres, des éléments de la 17ème Panzer Grenadier Division SS sont
attaqués par des chasseurs P47 Thunderbolt. Ils subissent de nombreuses pertes,
une demi-douzaines de véhicules blindés et des camions sont détruits.
M.
Pierre René se rappelle « des soldats
allemands sont venus chez lui, rue Maréchal Leclerc, pour demander de
l’eau ».
5 septembre : des patrouilles
américaines passent par Jouaville.
6 septembre : la colonne de chars
du Combat Command A de la 7ème Division blindée apprend que la
route est bloquée avant Malmaison. Il se déroute vers Jouaville pour contourner
l’obstacle par le nord.
Les unités américains venant de Doncourt et Batilly s’arrêtent prés du
cimetière prussien sur la route d’Anoux.
Jouaville
est libéré.
M.
Lerouge se trouve dans sa maison de la rue
Henri Barbusse. Il entend le bruit sourd des chenilles. Il sort et aperçoit des
chars descendant la rue. Il rentre chez lui chercher son appareil photo et
prend trois clichés : un Tank
Sherman, un tank Recovery Vehicle M32 : véhicule de dépannage et deux Gi.s
à l’entrée de Jouaville.
M.
Pierre se souvient : "Le premier
soldat américain qui a libéré Jouaville, a été tué près d’Anoux La
Grange."
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